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 | | Lun 26 Sep - 9:05 | | Ce garçon est mon fils.
 Pain without love, pain can't get enough, pain I like it rough 'cause I'd rather feel pain than nothing at all •••Regina avait travailler toute la journée, elle avait même dans l'après midi entrainer Emma Swann à maîtriser sa magie. Revenant de la foret, elle sortit son Black Berry afin de regarder l’emploi du temps de son jeune fils de 12 ans : Henry Mills. Il était sa raison de vivre, sa seule et unique lumière dans le noir qui avait été sa vie durant de nombreuse année. Depuis l'arrivée des nouveaux habitants, la jeune reine avait eut pas mal de travail, de plus elle n'était pas l'habitante la plus aimée de la ville et avait pas mal d'ennui. Mais lorsqu'il s'agissait de son fils, elle pouvait abandonner tous ce qu'elle faisais pour aller le voir ou le chercher à l'école.
Regina utilisa sa magie afin de se téléporter dans une épaisse fumée violette arrivant dans une ruelle adjacente à l'école élémentaire. Remettant ses mèches brunes en arrière, elle commença sa marche, ses talons claquant sur le sol, elle arriva devant la grille de l'école de son fils. Attendant quelques minutes que la cloche sonne, elle observa de loin Mary Margaret Blanchard, l'institutrice d'Henry et également sa belle fille sur qui elle avait déversé tant de haine. Jetant un regard noir à l'institutrice, elle observa de loin les enfants sortir les uns après les autres de l'école. Évidemment son fils était un élève très studieux et jamais il ne serait de ses petits moribonds qui court le long de la route pour se ruée chercher des sucreries. Henry était sa plus grande réussite. S'impatientant, elle pénétra dans l'école à la recherche de son fils, se plantant face Mary Margaret, elle lui lança un regard hautain sans dire un seul mot. C'est alors qu'elle aperçut les mèches brunes de son enfant, son sac à dos sur les épaules. Elle s'abaissa posant ses mains sur les épaules d'Henry :
- Bonjour. Tu vas bien ? Demanda la reine d'un ton un peu inquiet et surprotecteur. Tu veux que je te prenne ton sac à dos ? Ou allez voire un chocolat chez Granny ?
La reine était tellement protectrice avec son enfant, qu'elle pouvait presque paraître obsessionnel envers lui. © 2981 12289 0 |
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| | Jeu 10 Nov - 17:26 | | Henry Mills était à l'école aujourd'hui et il ne laissait aucunement paraître qu'il ne se sentait pas bien à l'intérieur de lui-même. Il était très déçu d'avoir accepter de donner son cœur à Peter Pan. S'il avait l'occasion de revivre la même situation, il ne referait plus la même erreur. Il se cherchait mentalement. Il avait perdu sa confiance en lui lorsque ses deux mères l'eurent ranimés sur le bateau. Il était perdu et il ne comprenait plus ce qu'il se produisait. Il écoutait à moitié son institutrice, Mary Margaret Blanchard, parler. La cloche sonna enfin. Henry prit son temps pour ranger toutes ses affaires. Il mit son sac à dos sur ses épaules. Lorsque cela fut fait, il fit un sourire à Mary Margaret et il sortit alors de sa classe pour se rendre à son casier. Henry n'était pas fier de ce qu'il s'était passé à Neverland. Il ne voulait pas en parler, mais il savait qu'il allait devoir affronter ses démons un jour. Henry ouvrit sa case et mit ses cahiers dont il n'avait pas de devoirs dans sa case. Par la suite, il ferma sa case et commença à marcher en direction de la sortie. C'est alors qu'il vit sa mère Régina en face de Mary Margaret. Il se demandait ce qu'elle voulait. Henry s'approcha des deux et c'est alors que Régina se baissa pour mettre ses mains sur ses épaules et pour le regarder à sa hauteur, dans les yeux. Henry la regardait dans les yeux, même s'il voulait fuyer son regard. Il ne voulait pas lui dire qu'il ne se sentait pas bien. C'est alors qu'elle lui demandait si cela allait bien. Henry lui fit un sourire pour effacer ses soupçons. Il sentait depuis longtemps que celle-ci se doutait qu'il n'aillait pas bien. Il allait le savoir bientôt. Elle lui demanda aussi si elle peut son sac à dos. Henry la regarda et il lui tendit son sac à dos et elle lui demanda s'il voulait allez boire un chocolat chaud.
Salut, je vais bien. Je veux bien allez prendre un chocolat chaud, mais est-ce que nous pouvons allez à la maison? J'ai quelque chose à te dire.
Henry voulait lui dire maintenant même si cela allait être dur pour lui à l'affirmer. Il se sentait prêt à tout lui dire, même si cela prendrait des heures à s'exprimer. Il avait le besoin de le dire. |
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