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Katelyn • Un enfant n'épouse pas ses parents.

Anonymous
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Ven 28 Oct - 19:11

Peau d'Âne
Katelyn Jennet

Katelyn Jennet, est née à Misthaven où elle était Princesse puis souillon. Elle est tirée du conte Peau d'Âne de Grimm où elle est Peau d'Âne.
Elle semble avoir 22 ans, mais son âge exacte est 50 ans.
Elle est arrivée à Storybrooke Aujourd'hui elle est Patissière
Elle est Hétérosexuelle et elle apparaitra sous les traits de AVATAR.




Story

Je suis une princesse. Et comme toute princesse qui se respecte, je me dois de commencer mon histoire par un « il était une fois ». Êtes vous prêt ? Alors allons y.

Il était une fois dans une des contrées de Fairytales Land, un roi et une reine follement amoureux. Dirigeants d'un pays prospère, aimaient de tous, la royauté ne voulait qu'une seule chose. Avoir un enfant. Non pour le titre et l'héritage, mais pour offrir de l'amour à un enfant, leur enfant. Matérialiser ce qui les relis dans un petit être des plus mignons. Alors ils essayèrent longtemps, de long en large. Jusqu'au jour  ou la grossesse arriva. Une petite fille naquit, une jeune princesse aux cheveux d'or. Ils la nommèrent Alyssa. Le bonheur fut ainsi comblé dans le royaume, la fête fut longue et coûteuse pour célébrer cette heureuse naissance. Puis les années passèrent. De bébé la princesse devint bambin joyeux. Belle petite frimousse aux yeux bleus et aux joues roses riant et souriant à tout, faisant le bonheur de ses parents et des habitants du château. Puis elle devint enfant, courant de partout, faisant des bêtises et des niches. Volant des gâteaux dans les cuisines, ouvrant les cages des oiseaux pour qu'ils soient libres, tombant souvent en s’écorchant les genoux. C'était une enfant pleine de vie et de joie.  Des années de nouveaux, l'adolescence et le malheur. Car le malheur arrive toujours, prenant la place du bonheur. La mère de la jeune princesse tomba gravement malade. Tous les médecins du royaumes ont cherchés un remède en vain. Si bien qu'à l'aube de sa vie, elle convoqua son époux le roi et lui tenant la main avec amour elle lui fit cette requête

« Si, moi morte, tu veux te remarier, que ce ne soit qu’avec une femme aussi belle que moi et qui ait des cheveux d’or. Promets-le-moi. »

Le roi le lui promit bien sur, persuadé que sa femme survivrait, que jamais elle ne le quitterai. Pourtant, à la nuit tombée la flamme de sa vie s'est éteinte. Des années durant le roi resta inconsolable, refusant de voir sa fille qui lui rappelait la reine défunte. Il restait seul à pleurer face au portrait de sa femme, gérant les affaires du royaume d'un air lointain. Mais après un si long moment, ses conseillers vinrent à lui soumettre l'idée d'un remariage, d'un héritier mâle pour la couronne et de l'importance du bonheur du royaume. Ainsi persuadé, le roi acquiesça à leur demande, mais parla de la promesse faite à la reine défunte. Chose stupide pour les conseiller. Qu'importe que la reine soit belle ou blonde, l'important était qu'elle sois féconde. Mais il n'en démordrait pas et ainsi commença la quête d'une nouvelle reine.

On expédia aux quatre coins de l'horizon des gens pour chercher une fiancée qui égalerait la reine en beauté, mais on ne put en trouver une autre sur toute la Terre, et  bien qu'on ai pu en trouver qui l'égalerait, elles n'étaient pas blonde. Les émissaires revinrent donc comme ils étaient partis. Il vint alors aux conseiller une idée. Un dernier recours. Le roi avait une fille qui n'était pas moins, mais plus belle que sa défunte mère et qui avait, elle aussi, de magnifiques cheveux d'or. Ainsi, ils créèrent une rencontre et le roi, s'apercevant qu'elle ressemblait en tout à sa mère, conçut pour elle un amour des plus fous. Ainsi en vint il a dire à ses conseillers

« Je veux épouser ma fille, car elle est le vivant portrait de ma femme morte, et je ne trouve nulle part une fiancée qui lui ressemble. »

Les conseillers bien heureux de trouver une solution, oubliant que la princesse était le fruit du roi, l'appuyèrent dans sa requête, pensant que bien que l'amour entre un père et sa fille soit proscrit. Ce genre de chose pour un seul héritier mâle, ne nuirait pas tant au royaume. Ainsi fut prévenu la princesse qui horrifiée à l'idée de devoir épousée son père, s'enfuit dans la foret non loin, allant retrouver une fée vivant là. Elle lui exposa la situation d'un air horrifié, la suppliant de l'aider à se soustraire à ce mariage incestueux et sa fée marraine, touché par cette requête accepta de l'aider. Ainsi, elle lui conseilla de jouer les coquette et de demander à son père, une chose impossible à obtenir. Une robe couleur du temps.
Ainsi, elle retourna bien vite au château et obtenant audience à son père elle lui soumit la requête.

« Avant que j'accède à votre désir, je voudrais une robe de la couleur du temps. Changeant de couleur comme le ciel change d'humeur. »

Bien sur cette requête était folle, mais le roi la pris, comme une promesse de mariage, un cadeau qu'elle demandait pour offrir sa main, une dote. Il convoqua tous les plus grands artisans tailleurs du royaume et leur soumit la requête, promettant la mort si ils ne parvenaient à lui fournir cette robe dans les quarante-huit heures. Les artisans travaillèrent jour et nuit sans jamais dormir deux jours durant, avant de livrer la robe au roi. Celle ci avait la couleur du ciel, comme si l'on avait découpé celle ci en celui ci même, les nuages passant, le soleil scintillant avant de rosir au soleil couchant. Bien heureux de son cadeau, le roi fit livrer la robe dans la chambre de sa fille, lui demandant de paraître devant lui pour lui donner sa réponse à la demande de mariage.

La pauvre princesse enfila bien vite la robe, les larmes roulant doucement sur ses joues, prise au piège par cette robe qui devait être impossible, mais que pouvait elle faire de plus ? Sa fée marraine le lui dit. Demander une autre robe, couleur de lune. Ainsi, elle s'avança face à son père le roi, s'inclina devant le trône et après avoir offert mille et un compliment à son père sur la robe, elle changea quelque peu de ton.

« Cette robe est très jolie mais...j'aurai pensé qu'elle serait plus jolie. Plus brillante. Peut être qu'une robe couleur de lune me plairait mieux. »

Le roi accepta de nouveau et le manège recommençât. Les tailleurs furent convoquer pour la robe. On les menaça de mort si ils ne parvenaient à satisfaire le désir de leur roi et comme la première fois, et deux jours plus tard, une robe aussi belle et brillante que la lune fut livrée dans la chambre de la princesse. De nouveau elle la passa, appelant sa fée marraine qui vint à son secours de nouveau. Puisque ce roi avait l'argent, on lui demanderai une robe couleur de soleil. Celle ci, il ne pourrait lui offrir.

Elle le fit donc. Nouvelle commande, nouvelle menace et on lui livra encore cette robe qui à elle seule illuminé la chambre entière. Éblouissante qu'elle était sans vous forcer à détourner le regard malgré tout. La fée marraine s'agaçant de voir ainsi ses plans déjoué vint à demander le plus impossible des cadeaux.

Voyez vous, le roi de ce royaume avait reçu de cette même fée le jour de ses noces, un âne. Piètre cadeau me direz vous. Certes. Mais cet âne avait la particularité de laisser chaque jour sur sa paille non pas des crottes, mais des diamants et de l'or. Des rubis et des émeraudes. Il était la fortune du royaume, ce qui faisait qu'il pouvait prospérer. Alors, la princesse demanderai la peau de cette âne en ultime présent. Car si le roi son père l'aimait sincèrement, il n'hésiterai pas à sacrifier cet animal.

La demande fut faite en ce sens et le roi pesta au possible. C'était une jeune fille bien coquette et difficile qu'il avait. Folle également de lui demander ce présent. Mais il lui offrirait à condition qu'ils se marient. La princesse accepta. Et fou de joie les préparatifs s'entamèrent. La robe, le gâteaux, les invitations aux princes et princesses des autres royaumes. Le lendemain, la peau de l'âne fut offerte à la princesse qui tomba de haut. Pleurant tout ce qu'elle pouvait. Comment dire non maintenant qu'il avait sacrifié ce qu'il avait de plus précieux ? Puis il était son père, elle l'aimait. Mais l'aimait elle comme un possible époux ? Non, certainement pas. Ainsi, de nouveau la fée marraine vint à sa rencontre. Son plan se déroulant comme elle l'avait pensé, il fallait maintenant accélérer les choses. La demoiselle devrait se dissimuler sous la peau de l’âne et parcourir le royaume tel une mendiante. Il lui faudrait disparaître au plus vite et au plus loin, refaire sa vie. Et si, elle gardait sa ligne de conduite pure et innocente. Si elle ne parlait à personne de qui elle était réellement, alors, le bonheur la trouverait. Il fallut une longue discussion pour qu'elle accepte, mais à la nuit tombée, la princesse était prête. Vêtu d'une robe de paysanne à demi déchiré sur la jupe. La peau de l’âne glissant sur son dos, de la suie sur son visage blanc. La fée lui offrit un petit coffre, en lequel elle put cacher ses trois robe, un miroir, un peigne et trois bijoux précieux. Une bague d'or, un rouet d'argent et un petit dévidoir en or, qui pourraient payer certaines choses si elle était réellement dans le besoin. Puis elle lui offrit une baguette quelle pourrait cacher dans ses vêtement. En l'agitant, elle pourrait faire disparaître et apparaître son petit coffre ou elle désirait.

Le coffre caché et tout les préparatifs exécutaient, la princesse fuit le pays de nuit. Marchant aussi longtemps qu'elle le pouvait jusqu'à rencontrer une grande forêt. Fatiguée, exténuée par sa marche, la princesse se blottit dans le creux d'un vieil arbre mort, et ainsi protégée par sa peau d’âne et un lit de feuille, elle s'endormit. Le soleil montait déjà dans le ciel lorsqu'elle s'éveilla sous les aboiement des chiens. Il se trouvait que le roi à qui appartenait cette forêt était en chasse aujourd'hui et que les chiens, attiraient par l'odeur de la peau d'âne venaient aboyer autour du tronc, courant autour, essayant de faire sortir leurs si étrange gibier. Des gens du roi  quittèrent leurs montures, allant voir ce qui s'y cachait là, sortant par la force la pauvre jeune fille effrayée qui cria de toute ses forces de peur d'être tuée.

« Je suis une pauvre enfant abandonnée. Je n'ai ni père, ni mère. Ayez pitié de moi monseigneur. »

Le roi l'observa longuement puis après un moment, pris de pitié pour cette pauvre enfant il lui offrit un poste.

« Peau d'Âne, tu n'es guère bonne que pour la cuisine, mais viens au château. Tu pourra toujours balayer les cendres. »

Ainsi fut elle mise sur la voiture, bien à l'arrière pour eviter son affreuse odeur et emmenée au château royal. Là, il lui montèrent les cuisines et non loin de là, sous un escalier, une petite niche où jamais n'avait pénétré la lumière du jour.

« Voici, petit animal sauvage. C'est là que tu te tiendras pour dormir. »

On envoya ainsi la jeune enfant aux cuisine ou elle porterai le bois pour le feu, l'eau pour les bouillons. Elle entretiendrais le feu, plumerais les volailles, éplucherai les légumes, balayerai les cendres et bien sur, ferait tous les gros ouvrages. Les années passèrent ainsi, dans la tristesse et la misère. Pourtant en son malheur venait le jour du Dimanche ou on lui offrait sa demi journée. De cet instant, elle courrait se réfugier dans son petit logis et faisant apparaître son petit coffre magique, revêtait l'une de ses robes, brossait ses cheveux et admirait sa beauté dans le petit miroir qu'elle avait emporter. Un dernier souvenir de sa vie de princesse, un dernier rappel de ce qu'elle pouvait être. Une belle femme, une autre que cette souillon de Peau d'Âne.
Puis vint  le jour où l'on donna une grande fête au château. Un bal de la plus grande des envergure où tout le beau monde était invité. Tenant sa place dans les cuisines, Peau d'Âne vint à demander au cuisiner

« Pourrais je monter un instant pour voir la fête ? Je me tiendrai à la porte, personne ne me remarquera. »

Le cuisinier répondit un moment, mais appréciant la jeune souillon qui travaillait avec acharnement et mérite, il lui offrit cette possibilité.

« Va, mais reviens dans une demi-heure balayer les cendres. »

De si tôt, la princesse prit sa petite lampe et s'en fut à sa niche. Elle jeta sa peau d'âne et se lava rapidement, faisant disparaître de son cœur la suie, retrouvant ainsi sa beauté.  Elle appela ensuite son petit coffret et en sorti sa rôbe couleur du temps. Ainsi vêtu et recoiffée, elle monta dans les salons et tous dans l'assistance lui ouvrirent le chemin, admirant sa beauté et sa toilette. Mais personne, ne la reconnut. On la prenait pour ce qu'elle était. Une princesse. Le prince du royaume alla à sa rencontre aussitôt, lui offrant sa main pour une danse où eux seul étaient en piste sous le regard tantôt envieux, tantôt émerveillé des convives. Le prince lui dit combien il la trouvait belle, combien, il n'avait jamais vu telle beauté. Mais elle ne répondit pas, se contentant d'un sourire.
La danse passé, la jeune fille offrit une révérence au roi et, pendant qu'il se tournait pour lui offrir un verre d'un liquide couleur d'or, elle disparut si rapidement, que personne ne sut où elle était passé. Il envoya chercher les gardes du château et les interrogea, mais aucun d'entre eux n'avait aperçu la fugitive.
Celle était rentrée dans sa niche, et après avoir vivement retiré sa robe, noirci sa figure et ses mains, passa sa peau d'âne et était redevenu, la souillon des cuisines.

Quand elle retourna en cuisine et commença à balayer les cendres, le cuisinier l'interpella.

«Remets cela à demain et fais-moi un gâteau pour le roi. Moi aussi, je veux voir un peu ce qui se passe là-haut. Surtout ne laisse rien tomber dans la pâte ; car si tu as ce malheur, je ne te donne plus à manger. »

Le cuisinier parti, Peau d'Âne s'occupa du gâteau. C'était un gâteau de beurre qu'elle fit aussi bon que possible. Lorsqu'elle eut fini, elle s'en alla à sa niche chercher sa bague d'or et la mit dans le gâteau.

Après le bal, le prince se fit servir son gâteau et le mangea. Il lui parut si bon, qu'il crut n'en avoir jamais mangé de meilleur. En arrivant à la fin du gâteau, il trouva la bague et ne put comprendre comment elle était arrivé là.
Alors il commanda qu'on aille quérir le cuisinier, qui, à cet ordre fut effrayé et vint chercher peau d'âne avec force.

« Tu as laissé tomber un cheveu dans le gâteau, c'est sur ! Si l'on me sermonne, tu seras punie ! »

Ainsi, il monta voir le prince, ce dernier lui demanda qui avait fait le gâteau et bien sur, le cuisinier répondit que c'était lui. Le prince certain de ce qu'il avait gouté, lui dit qu'il mentais, car ce gâteau était bien meilleur que le sien. Alors, le cuisinier avoua et l'on envoya chercher Peau d’Âne aux cuisines. Ainsi arriva t elle, tête basse.

« Qui est tu ? »

« Une pauvre enfant qui n'a ni père, ni mère. »

« Que fais tu dans le château de mon père? »

« Je ne suis bonne à rien qu'à recevoir des coups de pieds »

« D'où te viens cette bague ? »

« De cette bague...je ne saurais rien dire. »

Ne pouvant en tirer un mot de plus, il la renvoya. Quelques temps plus tard, une seconde fête eu lieu et de nouveau, Peau d'Âne demanda la permission au cuisinier d'aller la voir. Il y consentit, sous promesse qu'elle serait là dans la demi-heure pour préparer le gâteau du roi. Ainsi, couru t elle à sa niche, se lava et retira de son coffret, sa robe couleur de soleil. Ainsi vêtu, elle monta dans les salons, pareille à la fille d'un roi et le prince vint à sa rencontre, enchanté de la revoir. De nouveau ils dansèrent ensemble et de nouveau, la danse terminée, elle disparut, retrouvant sa niche pour redevenir Peau d'Âne et alla aux cuisines préparer le gâteau de beurre du prince. Quand le cuisinier monta à son tour, elle alla chercher le rouet d'argent et le mit dans le gâteau.

On porta le gâteau au prince, il le mangea, le trouve aussi bon que la première fois et fait appeler le cuisiner. Lequel est forcé d'avouer que, de nouveau, c'est Peau d'Âne qui a fait le gâteau. On l'appela de nouveau devant le prince, mais toujours elle répondit qu'elle n'était là que pour recevoir des coups de pieds et qu'elle ne savais rien du rouet d'argent.

Lorsque, pour la troisième fois, le roi donna une fête, tout se passa de la même façon. Le cuisinier fatigué de voir cette souillon mieux réussir les gâteaux que lui, lui demanda.

« Tu es une vraie sorcière Peau d'Âne, tu met toujours dans tes gâteaux, je ne sais quoi. D'où lui provient un si bon goût, que le prince les trouve meilleurs que les miens ? »

Elle le supplia de la laisser monter de nouveau un moment et elle lui révélerait son secret par après. Il accepta et s'en alla revêtir sa robe couleur de lune, et parut dans la salle. Le prince dansa encore avec la belle jeune fille et trouva qu'elle n'avait jamais été aussi belle. Cependant, sans qu'elle ne s'en aperçût, il lui glissa au doigt une bague en or et ordonna qu'on fasse durer la danse très longtemps. Quand elle fut terminée, il voulut retenir la princesse à la robe lunaire par les mains. D'un geste vif, elle se débarrassa de lui et se perdit si prestement dans la foule qu'elle disparut.

Elle courut aussi rapidement qu'elle put à la niche de l'escalier, mais comme elle avait été plus d'une demi heure absente, elle n'eut pas le temps de retirer sa belle robe et enfila par dessus peau, cachant celle ci. Dans sa précipitation, elle oublia de se noircir une partie des mains et du visage. Peau d'Âne courut ainsi aux cuisines, fit le gâteau du prince et, lorsque le cuisinier fut parti, jeta le petit dévidoir en or dans la pâte. Le prince trouva le dévidoir et fit venir Peau d'Âne. Il aperçut à son doigt mal caché la bague d'or qu'il y avait glissée pendant la danse. Il prit ainsi la main de la jeune fille et la tint serrée. Celle ci voulut se dégager et se sauver, mais la peau de l'âne s’entrouvrit, faisant étinceler sa robe de lune.
Le prince pris la peau et l'ôta. Soudain apparurent les cheveux d'o et sans pouvoir le cacher plus longtemps, la jeune fille rayonna dans toute sa splendeur. Quand elle eut ôté la suie et les cendres, son visage sembla, la plus belle chose qu'on eût jamais vue sur terre. Bien vite, il la demanda en mariage et bien sur, elle accepta avec bonheur.
Les noces furent programmer pour la semaine suivante et tous préparaient leurs plus beaux atours pour la fête. Dont le père roi de la jeune fiancée qui, ayant pris connaissance du lieu ou se cachait sa fille et des noces prochaine, envoya un groupe d'homme l'emmener par la force si besoin, pour la ramener à lui et l'épouser de force avant ce prince de pacotille. L’enlèvement eu lieu de nuit. Les hommes saisirent la demoiselle endormit, l'attachant et la ballonnant pour l'emmener contre son grès vers le royaume de son père.  Ce fut sur la route du retour que le nuage menaçant apparut à l'horizon, engloutissant tout sur son passage. La princesse et ses ravisseurs ne furent pas épargner par celui ci. Et au petit matin, alors que le soleil pointait tout juste ses rayons au lointain. Katelyn se trouvait dans sa pâtisserie, confectionnant gâteaux, tartes et autres beignet pour ses concitoyens de storybrooke. Elle la petite orpheline qui n'avait plus, ni père, ni mère était parvenu à ouvrir son échoppe.^
Puis les années passèrent. Depuis combien de temps était elle là, dans cette petite ville de son enfance à ouvrir son échoppe tous les matins, à faire gâteaux et tartes, pâtisseries et viennoiseries pour le plaisir de ses concitoyens ? Elle ne savait pas. Elle n'y avait jamais vraiment pensé du moins. Puis cette fille était arrivée avec le fils de la mairesse. Tout le monde le savait qui elle était, ce qui se passait. Personne n'aimait beaucoup Régina après tout. Puis chacun ses histoire non ? L'important était que la boutique fonctionne, que l'argent rentre et que tout le monde veuille les pâtisseries de Katelyn, les meilleures de tout Storybrooke. Mais il y eu cette chose, cette chose étrange qui parcourut la ville entière, tel une bourrasque de vent passant d'habitant en habitant, les laissant surpris, stupide, curieux. Et Katelyn était comme les autres. De jeune pâtissière à la vie simple elle se souvint de sa fuite, de la peau d'un âne, de robes couleurs de soleil ou de lune. Le choc fut mitigé. Plus dans l'idée de se voir comme cette pâtissière qu'elle avait toujours était, oubliant qu'elle avait été princesse en fuite, souillon, mystérieuse jeune femme, futur reine d'un royaume voisin... De si tôt, elle couru dans les rues parmi d'autres, cherchant des visages connus. Le premier qu'elle croisa fut celui d'une religieuse. La fée des lilas, celle là même qui l'avait aidée à fuir. Mais si elle était là, cela signifiait que son père l'était aussi...tout comme le prince et ses gens. Les recherches commencèrent donc. Eviter son père le roi, bien qu'elle puisse lui dire non maintenant, bien que ce monde puisse la protéger de lui au besoin. Et son prince à qui on l'avait enlevé de force juste avant cette malédiction. Mais elle ne le vis pas. La cherchait il seulement ou avait il pensé qu'elle s'était enfuis pour éviter les noces...qui sais ?


Description Psychologique

Parler de moi, voilà une chose difficile. Je n'ai pas cette habitude, mais puisque vous me le demandez, il me faut le faire. Que vous dire ? Je suis une jeune femme assez simple, aimant les choses de la vie, la nature, la vie et tout ce qui peut être beau en ce monde. Je suis passionnée de musique et aime à chanter dès que cela m'est possible.  Mes parents sont de bon dirigeant. Ils aiment leur peuple et m'ont appris à l'aimer tout autant. Douce et généreuse, j'ai souvent parcouru les rues des villages alentours, distribuant du pain et des gâteaux que j'avais fait moi même dans les cuisines du château. Ma mère me disait que c'était un acte de bonté que de faire cela et j'aimais à les voir heureux de ces petites choses de rien du tout. Pourtant timide, je cachais régulièrement mon visage sous une longue cape couleur de nuit, préférant être cette jeune fille anonyme offrant le pain et la nourriture aux nécessiteux.
Mais j'ai également mon caractère, ce qui n'est pas une si bonne chose à en croire mes parents. Je suis souvent mes propres instincts, persuader que je peux faire mieux que ce que l'on m'a instruit. Je suis un peu ronchonne et n'aime pas avoir tort ou me faire reprendre. Ce n'est pas ma faute si je suis persuadé d'avoir toujours raison, ne pas aimer être prise en faute, car oui, je veux être cette princesse parfaite, celle que tous le monde aimera. Orgueil ? Oui un peu, j'aimerais être à la hauteur de mes parents ce qui m’emmène parfois sur des chemins sinueux, mais je m'en sors toujours plutôt bien. Gourmande, j'aime les sucreries et fait beaucoup de pâtisserie vous l'aurez compris, mais j'aime aussi partager. Généreuse, je suis toujours prête a aider tout le monde, à partager, à offrir parfois ce que moi j'ai pour aider les autres. Pitre, espiègle. Je me sauve souvent du château à la nuit tombée pour participer aux fêtes de villages, m'encoquiner avec quelques jeunes à rire et flirter sans jamais aller plus loin ce ne serai pas digne de moi. Courageuse et coquette. Je ne recule devant aucun labeur et aucune tache. J'aime à faire les choses bien et à ce qu'on ne me dise pas que je suis juste une petite princesse pourrie gâtée comme beaucoup pourraient le croire de par mes tenues. Car oui j'aime être jolie aussi. Sans partir dans des toilettes sans prix, mais parfois une simple couronne de fleur dans mes cheveux peut enjoliver mon teint. Une robe aussi simple soit elle coupée dans le bon tissus et avec la bonne couleur peut être la plus élégante. Bref voilà, vous en savez un peu plus sur moi. Si vous en voulez plus, vous pouvez toujours venir me parler.



Reality


Pseudo : Léo
Découverte du Forum : Top site
Feedback : tres bon forum, super design, intrigue interessante...attendons de voir le reste :)
Double Compte : aucun
Daemon McDonalds
Daemon McDonalds
Messages : 133

Ven 28 Oct - 20:51

Katelyn • Un enfant n'épouse pas ses parents. Tumblr_lthpjpIytE1qig4rjo2_500

Welcome to Storybrooke


Bienvenue à Storybrooke Katelyn • Un enfant n'épouse pas ses parents. 1248224893 Ta fiche est vraiment bien écrite Katelyn • Un enfant n'épouse pas ses parents. 859948483
On fait la mise à jour de tes informations, mais tu peux désormais RP. Tu peux aussi t'occuper de tes relations ou gérer tes RP.

Je te souhaites donc bon jeu parmi nous et peut-être à bientôt en rp Katelyn • Un enfant n'épouse pas ses parents. 3879036755  
Roman Hill
Roman Hill
Messages : 48

Sam 29 Oct - 21:59

Soit la bienvenue demoiselle parmi nous chez les fous
Emma Swan
Emma Swan
Messages : 100

Dim 30 Oct - 18:33

Peau d'âne *-*
J'adooooore ce conte *-*
Nous faudra un lien absolument ♥ et bienvenue ♥
Ama Matoaka
Ama Matoaka
Messages : 21

Dim 30 Oct - 19:43

J'adore l'histoire ! Bienvenue (c'est mon conte préféré ! :D )
Elsa d'Arendelle
Elsa d'Arendelle
Messages : 295

https://marchens-destiny.forumsrpg.com/t58-elsa-la-reine-des-nei
Dim 6 Nov - 18:08

Bienvenue parmi nous.
Désolée du retard, j'espère que tu te plairas ici.
Amuse toi bien.
A trés vite!
Elsa.

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